« Tant que les membres permanents usent de leur droit de veto pour protéger les auteurs d’atrocités massives, le Conseil de sécurité restera un forum de discussion faisant la part belle à la démagogie politique, et non un lieu susceptible de protéger efficacement les civils et de prévenir les catastrophes humanitaires. Les habitants d’Alep paient un lourd tribut au blocage de l’ONU, a déclaré Anna Neistat, directrice générale chargée des recherches à Amnesty International.
« Cette nouvelle utilisation du droit de veto doit inciter les États à l’Assemblée générale à renforcer la pression en vue de réformer son usage. »