Dans le cadre de son rapport sur la répression transnationale exercée par le gouvernement chinois dans les universités étrangères, Amnesty International a mené des entretiens approfondis avec 32 étudiant·es chinois, dont 12 de Hong Kong, inscrit·es dans des universités de huit pays : l’Allemagne, la Belgique, le Canada, les États-Unis, la France, les Pays-Bas, le Royaume-Uni et la Suisse.
Les témoignages recueillis dans ce rapport brossent un tableau effrayant de la manière dont les gouvernements de Chine et de Hong Kong cherchent à faire taire les étudiant·es, même lorsqu’ils et elles se trouvent à des milliers de kilomètres de chez eux/elles, plongeant nombre d’entre eux/elles dans la peur.
On en parle le lundi 10 juin lors de la rencontre Agor@mnesty avec :
– Vanessa Frangville, directrice de la Maison des Sciences humaines (MSH) de l’ULB, fondatrice de EASt, équipe de la MSH spécialisée sur l’Asie de l’est, et professeure en Études chinoises à la Faculté de lettres, traduction et communication de l ‘ULB.
– Philippe Givron, coordinateur « Chine » chez Amnesty International.
Rendez-vous le 10 juin de 12 h 30 à 13 h 45, au siège d’Amnesty International à Bruxelles ou en ligne via Zoom.