Avant de rejoindre Amnesty, elle a travaillé comme chercheuse juridique et chargée de plaidoyer au Jerusalem Legal Aid and Human Rights Center, où elle s’est penchée sur des questions telles que les démolitions de maisons, les droits sociaux et économiques et l’expansion des colonies de peuplement. Elle a rédigé une étude approfondie sur la politique israélienne consistant à retenir les corps des Palestiniens décédés comme forme de punition et de contrôle post-mortem. Elle écrit en anglais et en arabe pour plusieurs publications, en se concentrant sur les droits des femmes, le handicap et la décolonisation. Elle a obtenu son diplôme de droit à l’Université hébraïque de Jérusalem.
La rencontre Agor@mnesty se déroulera au siège de l’organisation le vendredi 26 avril de 12 h 30 à 13 h 45. Elle sera également accessible en live numérique, via Zoom.
Budour Hassan s’exprime en anglais. Une traduction simultanée vers le français est prévue (à confirmer).
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