Amnesty International vous invite à la rencontre avec Murhabazi Namegabe et François Ryckmans, le jeudi 14 décembre à 18 h 00.
Murhabazi Namegabe est le fondateur et directeur du BVES. Il se bat depuis 35 ans à Bukavu, dans le Sud Kivu en RDC, pour défendre les droits des enfants. Dans cette région déchirée par des guerres incessantes, il s’agit surtout de recueillir des enfants soldats, garçons et filles, pour les réintégrer dans leur famille et dans la société.
François Ryckmans a été journaliste à la RTBF où il a couvert l’Afrique centrale (Zaïre-RDCongo, Rwanda et Burundi) de 1991 à 2006, à la rédaction et comme envoyé spécial pour la RTBF Radio. Enseignant en journalisme et auteur, il a notamment écrit « Mémoires noires », paru en 2020 aux éditions Racine.
Rendez-vous au siège d’Amnesty International à Bruxelles, ou en ligne via Zoom.
Murhabazi Namegabe, de passage en Belgique, nous parlera de son travail de réinsertion des ex-enfants-soldats au Congo, en compagnie de François Ryckmans, journaliste spécialiste de l’Afrique centrale.
Murhabazi Namegabe et l’équipe du BVES travaillent au soutien psychosocial et médical des enfants. Elle leur donne un endroit où essayer de se reconstruire. C’est là aussi que commence la recherche des familles qui permettra aussi, souvent, la réinsertion scolaire et l’apprentissage d’un métier. Murhabazi est reconnu mondialement pour son engagement dans la cause des enfants victimes des conflits en RDC. Il a réçu de nombreux prix internationaux.
La rencontre aura lieu au siège d’Amnesty International, 169 chaussée de Wavre à 1050 Bruxelles.
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La rencontre sera également accessible via Zoom en cliquant sur le lien suivant.
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DD/MM/YYYY14/12/2023 18:0014/12/2023 19:30Europe/BrusselsAu secours des enfants-soldats en RDCMurhabazi Namegabe, de passage en Belgique, nous parlera de son travail de réinsertion des ex-enfants-soldats au Congo, en compagnie de François Ryckmans, journaliste spécialiste de l'Afrique (…)
C'est en manifestant, dans la rue ou en ligne, que la plupart de nos droits fondamentaux ont été obtenus ou n'ont pas disparu. Mais ces dernières années, ces droits acquis sont en danger : manifester et revendiquer sont vus comme des menaces par de plus en plus d'États, certains dirigeant·es politiques. Ils font tout pour restreindre, empêcher, interdire cette puissance collective. Amnesty International lance, avec votre aide, une campagne pour protéger ce droit fondamental de protester. Voir aussi : Notre dossier sur le droit de protester