Amnesty International, Greenpeace International, le Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l’homme, le Center for International Environmental Law (Centre pour le droit international de l’environnement), le Fonds mondial Wallace et le Centre pour les droits humains et la justice mondiale de l’université de New York organisent le « Sommet des peuples pour le climat, les droits et la survie de l’humanité » pour répondre au besoin urgent d’entrer dans une nouvelle ère de militantisme pour le climat et de plaider pour des solutions basées sur les droits humains pour répondre à la catastrophe climatique.
L’événement se tiendra durant deux jours à New York, les 18 et 19 septembre, en amont du sommet spécial sur le changement climatique organisé par le secrétaire général des Nations unies. Il rassemblera 150 militants et militantes d’organisations non gouvernementales (ONG) et de la société civile du monde entier afin de travailler sur le croisement des problématiques liées aux droits humains et au changement climatique.
« Nos organisations œuvrent pour un monde où chacun puisse s’épanouir dans un environnement sûr et sain, où les droits humains passent avant les profits des entreprises. Pour que cela soit possible, nous devons affronter la crise climatique en unissant nos forces pour constituer le mouvement le plus fort et le plus diversifié jamais formé. Ce n’est qu’ensemble que nous pourrons amener les dirigeants mondiaux à prendre l’urgence climatique au sérieux », ont déclaré les principaux organisateurs du Sommet.
Les organisateurs du Sommet tiendront une conférence de presse sur Internet le 9 juillet, afin de donner plus d’informations sur les plans pour ce Sommet et sur les raisons de cette collaboration internationale sans précédent.
Lors de cette conférence de presse, Carroll Muffett, Présidente and PDG du Center for International Environmental Law ; Craig Mokhiber, Directeur du Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l’homme ; Ellen Dorsey, Directrice exécutive du Fonds mondial Wallace ; Jennifer Morgan, Directrice exécutive internationale de Greenpeace International ; Kumi Naidoo, secrétaire général d’Amnesty International ; et Philip Alston, président du Centre pour les droits humains et la justice mondiale de l’université de New York, s’exprimeront.