« Le jugement stipule à juste titre que les décisions prises quant à ces expulsions n’ont pas fait l’objet d’une enquête appropriée et ne sont pas motivées. Les autorités belges doivent s’assurer qu’il n’existe pas pour chaque ressortissant soudanais, à son retour, des risques de graves violations des droits humains. Cela n’a pas été le cas ici. Il s’agit d’une violation flagrante du droit international. », a déclaré Philippe Hensmans, directeur de la section belge francophone d’Amnesty International.
« Les ressortissants soudanais ne peuvent être contraints au retour tant que les autorités belges ne peuvent prouver qu’une telle analyse de risque a été correctement effectuée pour chaque cas individuel. »