« Les droits en matière de procréation sont des droits humains. Cette mesure est une manœuvre flagrante de l’administration Trump visant à reléguer au second plan les droits en matière de procréation, et surtout à les effacer totalement du débat plus général sur les droits humains. Nous devons réagir face à cette attaque contre des droits fondamentaux » a déclaré Tarah Demant, directrice du programme Genre, sexualité et identité à Amnesty International États-Unis.
Cette directive s’inscrit dans une série d’atteintes aux droits en matière de procréation et aux droits et à la santé des femmes imputables à l’administration Trump, notamment la signature par le président et la mise en œuvre de la règle du bâillon mondial, très étendue et délétère.