Erika Guevara-Rosas, directrice du programme Amériques d’Amnesty International, a déclaré :
« Il n’y a pas de temps à perdre. Le Guatemala a besoin que la procureure générale assume ses responsabilités et démontre, avec des mesures énergiques, son engagement pour la justice et les droits humains. Le plan d’action qui doit être annoncé le 29 août doit comprendre des mesures réellement stratégiques permettant de véritablement renforcer les capacités d’enquête des services de la procureure générale, de protéger les procureur·e·s et de poursuivre le combat contre l’impunité. Indépendamment des changements de gouvernement, Amnesty International continuera de dénoncer les menaces pesant sur les droits humains et sur celles et ceux qui les défendent. »