En réaction à cet accord, Charanya Krishnaswami, responsable du travail de plaidoyer pour la région Amériques à Amnesty International États-Unis, a déclaré :
« Il s’agit d’une nouvelle mesure qui s’inscrit dans une série d’accords qui ne cessent de tourner le droit d’asile en dérision. Nous ne le répèterons jamais assez : on ne peut pas forcer des gens à chercher refuge dans des pays où ils ne seront pas en sécurité.
« Au lieu d’’offrir une protection à ceux qui fuient de telles conditions, les États-Unis persistent dans leur plan désastreux qui pourrait avoir des conséquences mortelles. »