En réaction aux informations quant à la visite du président égyptien Abdel Fattah al Sissi à Washington la semaine prochaine, Sunjeev Bery, directeur du travail de plaidoyer à la section américaine d’Amnesty International, a déclaré :
« La semaine prochaine, Donald Trump a l’occasion de tenir le gouvernement égyptien responsable de sa violente répression des droits humains, notamment du grand nombre d’arrestations arbitraires et d’homicides de dissidents, des disparitions forcées et des procès d’une iniquité flagrante. »
« Le gouvernement de Donald Trump ne peut pas fermer les yeux sur la crise des droits humains en Égypte. Lors de la rencontre de ce lundi 3 avril, le président Donald Trump doit faire clairement savoir que la qualité des relations diplomatiques avec les États-Unis dépend de la volonté de l’Égypte de cesser ses violations des droits humains. »