« Nous continuons d’exiger de notre gouvernement et du Secrétaire d’État à l’Asile et à la Migration, Theo Francken, qu’ils assument leurs responsabilités. Cela signifie qu’ils doivent garantir qu’aucun individu ne sera détenu ou renvoyé vers son pays d’origine sans qu’une enquête individuelle et approfondie ne soit menée sur les risques de torture ou d’autres violations des droits humains (en vertu du principe de non-refoulement, article 3 de la Convention européenne des droits de l’homme).
En outre, la coopération actuelle avec le régime soudanais qui viole massivement les droits humains est inacceptable et dangereuse. »