Suite à cette annonce, Margaret Huang, directrice exécutive d’Amnesty International États-Unis, a déclaré :
« Il est scandaleux que le gouvernement Trump ait décidé de reprendre les exécutions fédérales après une interruption de 16 ans. Cela montre une fois de plus son mépris à l’égard des droits humains.
« La peine de mort est le châtiment le plus cruel et inhumain qui soit. Le système est défaillant et irréparable, c’est pourquoi le gouvernement fédéral ne devrait procéder à aucune exécution. Le recours à la peine capitale va à l’encontre de la tendance tant nationale qu’internationale. Vingt et un États américains et plus de la moitié des pays du monde estiment déjà que la peine de mort bafoue les droits humains et n’a pas de place dans leurs textes de loi. Amnesty International s’oppose à la peine de mort en toutes circonstances et continuera de lutter pour mettre fin à cette pratique inhumaine. »