Devenez un défenseur des droits humains et sortez de l’ombre des Individus en Danger (IED)

La Campagne bougies, c’est aussi l’occasion de sortir de l’ombre une pratique de violation des droits humains ou un INDIVIDU EN DANGER. Par l’écriture
d’une lettre, la signature d’une pétition ou quelques clics, vous pouvez faire la différence…

Photos : @ Aibf

Les Individus en Danger (IED) sont des personnes pour qui se battent les militants d’Amnesty International, visant ainsi leur libération et/ou l’amélioration de leur situation. Ces IED proviennent de tous horizons et de toutes les régions du monde. Ce sont des personnes en danger en raison de leurs opinions, de leur identité ou de leurs activités en faveur des droits des autres. Ils courent un danger d’emprisonnement, de procès inéquitables, de torture, d’enlèvement, de mort et d’autres violations de leurs droits.

Passez à l’action pour les IED ci-dessous, mis en avant dans le cadre de la Campagne bougies !

Inés et Valentina (photo ci-dessus), deux femmes indigènes violées par des soldats mexicains

Inés et Valentina, ont été violées par des soldats mexicains en 2002, alors qu’elles avaient respectivement 27 et 17 ans. Bien qu’elles aient dénoncé ces attaques aux autorités, aucune enquête n’a été menée et personne n’a été traduit en justice. Les deux femmes et leurs familles ont été victimes d’intimidations. Leur liberté d’expression a été bafouée.

Le cas d’Inés et de Valentina illustre les souffrances d’autres victimes de violences sexuelles commises par des membres de l’armée mexicaine. La société mexicaine ne permet pas de parler librement de cette question, chaque cas étant étouffé et toute tentative de faire la lumière réprimée.

Exigez que le Président de la République du Mexique mette en oeuvre, pleinement et sans délai, les arrêts adoptés par la Cour interaméricaine des droits de l’homme les 30 et 31 août 2010 et rendus public. Adressez également un message de soutien à Inés et à Valentina. Rendez-vous sur www.amnesty.be/campagnebougies.


Les filles-soldates, une réalité oubliée

On en parle beaucoup moins que des garçons, mais des filles sont également recrutées par les groupes armés, notamment en République démocratique du Congo. Et celles-ci vivent très souvent des expériences différentes de celles des garçons. En effet, elles seront mariées de force à des commandants, subiront des violences sexuelles et serviront d’esclaves sexuelles, et auront parfois des enfants issus de ces unions forcées. Le retour dans leur communauté se révèle dès lors encore plus difficile que pour les garçons. Ayant subi des viols, elles sont régulièrement considérées comme impures, déshonorées. Le gouvernement congolais ne reconnaît pas spécifiquement le problème de la réinsertion des filles-soldates, et très peu de solutions leur sont proposées.

Le BVES (Bureau du Volontariat au service de l’Enfance et de la Santé) constitue l’une de ces solutions. Ce centre accueille les anciens enfants-soldats « démobilisés » qui ont rendu les armes. Entourés d’un personnel de soin, ils réapprennent à mener une vie loin de la guerre. Ils reprennent également le cours de leurs études et tentent de réintégrer leur communauté.

Envoyez un message de soutien aux filles qui se trouvent actuellement au Bureau du Volontariat au service de l’Enfance et de la Santé à Bukavu, en République démocratique du Congo : www.amnesty.be/campagnebougies.

[fond jaune paille]Retrouvez sur WWW.ISAVELIVES.BE des centaines d’actions à réaliser en moins d’une minute. Votre signature a du pouvoir...[/fond jaune paille]

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