Comment avez-vous fait connaissance avec le Marathon des lettres ?
Un ami m’en a parlé. Écrire une lettre pour demander aux autorités d’un pays qu’elles protègent quelqu’un au lieu de le menacer, c’est simple et fort. Bon, au départ, je doutais de l’efficacité de ma petite lettre, dans mon coin, mais j’ai appris que cette démarche est mondiale, et que ça marche. Alors, c’est tout ce qu’il me faut !
Qu’avez-vous prévu de faire ?
J’avais pensé à un après-midi « portes ouvertes » convivial à la maison pour les ami·e·s, autour des lettres à écrire, d’une tasse ou d’un verre et d’un morceau de tarte, mais avec la COVID-19, ce sera compliqué. Du coup, ce sera en famille. J’aime l’idée que les enfants aussi peuvent agir. À l’approche de la Saint- Nicolas, ce sera une bonne respiration sur l’essentiel. J’en fais un moment éducatif, ça me plaît. Et puis, je garderai mon matériel sous le coude pour les gens qu’on pourra quand même recevoir à la maison.
À propos de matériel, comment vous en êtes-vous sortie ?
C’est très simple ! Vous allez sur le site d’Amnesty et vous commandez un kit de séance d’écriture de lettres C’est gratuit et avec ça, on a tout ce qu’il faut. Le 10 décembre, nous posterons nos lettres et allumerons notre bougie à la fenêtre.
Pour organiser, comme Aicha, une séance d’écriture à la maison : amnesty.be/marathonalamaison