L’industrie minière en République démocratique du Congo a entraîné l’expulsion forcée de populations entières et d’autres graves atteintes aux droits humains, notamment des agressions sexuelles, des incendies volontaires et des violences.
Il y a 75 ans, l’Assemblée générale des Nations unies adoptait la Déclaration universelle des droits de l’homme. C’était la première fois que le monde se dotait d’un document universellement accepté consacrant les droits fondamentaux de l’être humain.
Nous constatons aujourd’hui que les gouvernements n’ont pas tenu leurs engagements : notre rapport annuel dresse en effet un tableau inquiétant de l’état des droits humains dans le monde en 2022.
Alors que des ֤États hypocrites choisissent les règles qu’ils veulent ou non suivre, en toute impunité, le respect des droits fondamentaux régresse dans le monde entier.
Pour en savoir plus :
Des expos pour les écoles
Amnesty International met à la disposition des écoles, sous forme de prêt, cinq expositions pour sensibiliser les élèves aux droits humains.
L’industrie minière en République démocratique du Congo a entraîné l’expulsion forcée de populations entières et d’autres graves atteintes aux droits humains, notamment des agressions sexuelles, des incendies volontaires et des violences.
« La population civile, partout au Soudan, subit des horreurs inimaginables », a déclaré Agnès Callamard
S’ils obtiennent gain de cause, les 27 États membres de l’Union européenne, ainsi que le Royaume-Uni, la Suisse, la Norvège, la Russie et la Turquie, pourraient être tenus de réduire leurs émissions de gaz à effet de serre
Cette disposition qui prévoit une période de détention maximale de quatre semaines précise qu’ils doivent prouver disposer d’un logement sur le territoire ainsi que des fonds nécessaires à un éventuel rapatriement.
Les charges contre les défenseurs du territoire Wet’suwet’en doivent être abandonnées !
Tandis que la communauté internationale tourne son regard vers les Émirats arabes unis, qui accueilleront la prochaine conférence des Nations (...)
Un militant du droit à l’éducation arrêté arbitrairement.
C'est en manifestant, dans la rue ou en ligne, que la plupart de nos droits fondamentaux ont été obtenus ou n'ont pas disparu. Mais ces dernières années, ces droits acquis sont en danger : manifester et revendiquer sont vus comme des menaces par de plus en plus d'États, certains dirigeant·es politiques. Ils font tout pour restreindre, empêcher, interdire cette puissance collective. Amnesty International lance, avec votre aide, une campagne pour protéger ce droit fondamental de protester. Voir aussi : Notre dossier sur le droit de protester