En réaction à la nomination de Meng Hongwei, vice ministre chinois de la Sécurité publique, à la tête de l’organisation internationale de police Interpol, Nicholas Bequelin, directeur du bureau Asie de l’Est d’Amnesty International, a déclaré :
« La nomination de Meng Hongwei est alarmante, étant donné que la Chine essaie de longue date d’utiliser Interpol pour arrêter des dissidents et des réfugiés à l’étranger. Cela paraît contraire au mandat d’Interpol, qui doit être exercé dans l’esprit de la Déclaration universelle des droits de l’homme.
« Il faudra désormais suivre de près le genre d’avis de recherche lancés par Interpol à la demande du gouvernement chinois. »