Des dizaines de milliers d’immigrées employées de maison en Jordanie sont maintenues dans l’isolement, exploitées et maltraitées, sans que l’État s’en émeuve.
Elles jouent un rôle fondamental dans l’économie de la Jordanie et de leur pays d’origine et devraient avoir le droit de travailler sans craindre d’être victimes de traitements cruels ou de menaces d’emprisonnement ou d’expulsion.