L’eau décrétée bien public national par référendum populaire, cela ne se voit pas tous les jours. Pourtant, en Uruguay, il ne s’agit pas là d’une première......
Privatisations hors la loi en Uruguay
Le 31 octobre, en élisant un président de gauche - M. Tabaré Vázquez, du Front élargi -, les Uruguayens n’ont pas seulement mis un terme à cent soixante-dix ans de partage du pouvoir entre le Parti colorado et le Parti national (ou blanco). Par voie référendaire, et avec une majorité de 64,5 %, ils ont également décidé d’inscrire dans la Constitution que l’eau appartenait au domaine public et qu’elle ne pourrait être privatisée.