Écrire France. Toutes les familles expulsées n’ont pas encore été relogées

Action complémentaire sur l’AU 261/14, EUR 21/008/2014, 13 novembre 2014 ENVOYEZ VOS APPELS AVANT LE 25 DÉCEMBRE 2014 . Vérifiez auprès de votre section s’il faut encore intervenir après la date indiquée ci-dessus. L’expulsion forcée d’un campement précaire installé près de Bobigny, en banlieue parisienne, laisse sans abri environ 180 personnes. Après avoir passé plusieurs nuits dans un gymnase, 60 d’entre elles sont hébergées provisoirement dans deux centres d’aide sociale à Paris. Les autres ne bénéficient d’aucun hébergement provisoire. Le 21 octobre, plus de 300 Roms vivant dans un campement précaire à Bobigny ont été expulsés de force. Des solutions de relogement ont été prévues pour 134 d’entre eux seulement. Environ 120 personnes ont quitté le campement peu de temps avant l’évacuation. Elles ne s’étaient pas vues proposer de solutions de relogement et ont préféré éviter toute interaction avec la police chargée de procéder à l’évacuation du campement. Après l’expulsion, les autorités ont suivi les Roms pour s’assurer qu’ils quittaient bien la municipalité de Bobigny. Le 22 octobre, à 1 h du matin, une soixantaine de personnes, dont des enfants et des nourrissons, se sont finalement vues proposer un hébergement provisoire dans un gymnase par le conseil municipal du 10e arrondissement de Paris. Elles ont ensuite été transférées dans deux centres d’hébergement et de réinsertion sociale dans d’autres quartiers de Paris. DANS LES APPELS QUE VOUS FEREZ PARVENIR (…)

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