Écrire Indonésie. Six personnes exécutées, neuf autres en danger.

Action complémentaire sur l’AU 305/14, ASA 21/005/2015, 30 janvier 2015 ENVOYEZ VOS APPELS AVANT LE 4 MARS Le 18 janvier dernier, un peloton d’exécution a mis à mort six personnes sur ordre des autorités indonésiennes. Neuf autres personnes risquent de subir le même sort. Rani Andriani, alias Melisa Aprilia (indonésienne), Daniel Enemuo (nigérian), Ang Kiem Soei (néerlandais), Tran Thi Bich Hanh (vietnamienne), Namaona Denis (nigérian) et Marco Archer Cardoso Moreira (brésilien) ont été passés par les armes le 18 janvier 2014, juste après minuit. Tous avaient été inculpés d’infractions à la législation sur les stupéfiants et condamnés à mort. Cinq d’entre eux ont été exécutés sur l’île de Nusa Kambangan, dans la province de Java-Centre, tandis que Tran Thi Bich Hanh a été mise à mort dans le district de Boloyali, dans cette même province. Amnesty International craint que d’autres exécutions n’aient lieu. Le gouvernement indonésien a en effet annoncé en décembre 2014 que 20 personnes seraient mises à mort en 2015. Neuf hommes risquent de connaître ce sort à tout moment, leur recours en grâce ayant été rejeté par le président Joko Widodo en décembre 2014 et janvier 2015. Il s’agit des Indonésiens Syofial, alias Iyen bin Azwar, Harun bin Ajis, Sargawi, alias Ali bin Sanusi et Zainal Abidin, des Australiens Myuran Sukumaran et Andrew Chan, et de Martin Anderson, alias Belo (ghanéen), Raheem Agbaje Salami ?(nigérien) et Rodrigo Gularte (brésilien). Tous ont été (…)

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