Écrire Mohammad Ali (h), 45 ans

ASA 33/018/2007 - Action complémentaire sur l’AU 204/07 (ASA 33/017/2007, 7 août 2007) Mohammad Ali, qui devait être exécuté par pendaison le 9 août, s’est vu octroyer un sursis de quinze jours. Sa famille disposera ainsi de davantage de temps pour négocier avec les proches de l’homme qu’il a été déclaré coupable d’avoir tué. Elle pourra chercher à obtenir leur pardon en échange d’une contrepartie financière. Aux termes des dispositions du droit islamique relatives au meurtre qui figurent dans le Code pénal pakistanais, la famille d’une victime a le droit de pardonner à l’auteur du crime, auquel cas celui-ci est relâché sans avoir à purger d’autre peine. C’est la deuxième fois que Mohammad Ali se voit accorder un sursis de quinze jours pour que les familles puissent tenter de s’entendre sur des réparations d’ordre financier. Mohammad Ali a été déclaré coupable d’avoir tué un homme du nom de Fayaz en 1996. Il a été condamné à mort en 1998 ; il a fait appel mais la haute cour l’a débouté ; en 2006, la Cour suprême a rejeté son second et ultime pourvoi. ACTION RECOMMANDÉE : dans les appels que vous ferez parvenir le plus vite possible aux destinataires mentionnés ci-après (en anglais ou dans votre propre langue) : – exhortez le président Moucharraf à user des pouvoirs que lui confère l’article 45 de la Constitution pakistanaise en commuant la sentence capitale sous le coup de laquelle se trouve Mohammad Ali (numéro de dossier : 241/96) ; – félicitez-vous des (…)

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