Écrire Une communauté indigène guarani-kaiowá risque l’expulsion

AU 229/09, AMR 19/015/2009, 3 septembre 2009 ENVOYEZ VOS APPELS AVANT LE 15 OCTOBRE 2009. Vérifiez auprès de votre section s’il faut encore intervenir après la date indiquée ci-dessus. Environ 130 personnes appartenant au peuple indigène guarani-kaiowá, qui vit dans le sud-ouest du Brésil, risquent d’être expulsées à tout moment de leurs terres ancestrales. Elles n’auront d’autre choix que de s’installer au bord d’une route, sans eau ni parcelle où cultiver de quoi se nourrir. Trente-cinq familles guaranis-kaiowás, comptant une soixantaine d’enfants, pourraient être expulsées de leurs terres à Laranjeira Ñanderu, dans l’État du Mato Grosso do Sul. Ces terres font actuellement l’objet d’une procédure officielle d’identification – la première étape vers la reconnaissance juridique des droits fonciers de cette population. Cette identification aurait dû avoir lieu en 2008 mais elle a été bloquée à plusieurs reprises par les tribunaux, à la demande des propriétaires terriens. Les Guaranis-Kaiowás se sont réinstallés sur une petite partie de leurs terres ancestrales fin 2007, après que le ministère de la Justice, le parquet fédéral et la Fondation nationale de l’Indien (FUNAI) – l’organisme chargé des affaires concernant les peuples indigènes du Brésil – ont signé un accord pour l’identification de 36 terres indigènes, y compris celles de Laranjeira Ñanderu. Depuis, le propriétaire de ces dernières tente de faire expulser la communauté avant l’identification car cette (…)

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