Écrire Bahreïn. Un dirigeant de l’opposition Ebrahim Sharif, risque la torture

Information complémentaire sur AU 79/11 Index : MDE 11/020/2011 ENVOYEZ VOS APPELS AVANT LE 1er JUIN 2011. Vérifiez auprès de votre section s’il faut encore intervenir après la date indiquée ci-dessus. Merci. Ebrahim Sharif, qui figure parmi plusieurs éminents dirigeants de l’opposition arrêtés en mars à Bahreïn, a été transféré aux alentours du 10 avril dans un hôpital militaire de Riffa, une ville du centre du pays. Sa famille n’a pas pu le voir depuis son arrestation. Amnesty International craint qu’il ne soit torturé ou soumis à d’autres formes de mauvais traitements. Ebrahim Sharif, secrétaire général de la Société nationale pour l’action démocratique (Waad), une association laïque d’opposition politique, a été arrêté chez lui à Manama le 17 mars. Depuis, ses proches n’ont pas été autorisés à lui rendre visite, et on pense qu’il est détenu par l’armée. Amnesty International a reçu des informations selon lesquelles il pourrait avoir été soumis à des actes de torture ou d’autres formes de mauvais traitements après son arrestation. Ebrahim Sharif a été admis à l’hôpital militaire des Forces de défense de Bahreïn à Riffa (centre du pays), pour la deuxième fois semble-t-il, aux alentours du 10 avril. Sa famille ignore s’il s’y trouve encore. D’après les informations recueillies par Amnesty International, un patient de cet établissement l’a vu le 10 avril et l’a reconnu malgré son visage enflé ; cet élément laisse craindre qu’il n’ait été agressé et soumis à (…)

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