Atena Daemi rêve de voir la peine de mort abolie en Iran.
Prisonnière d’opinion, elle a été condamnée à sept ans d’emprisonnement pour avoir écrit des messages sur Facebook, Twitter et Instagram, pour avoir distribué des tracts et participé à des manifestations pacifiques pour l’abolition de la peine capitale dans son pays. En 2019 puis en 2020, elle est de nouveau condamnée pour son militantisme pacifique en faveur des droits humains.
Depuis son arrestation, elle est confrontée à des violences et des traitements dégradants derrière les barreaux.