AMR 19/024/2006
Further Information on UA 18/06 (AMR 19/004/2006, 26 January 2006) and follow-up (AMR 19/014/2006, 31 March 2006) -
Fear for safety
BRAZIL :Maria Aparecida Denadai (f), lawyer
20 June 2006
Lawyer Maria Aparecida Denadai is finally receiving adequate protection from the Federal Police, and is no longer in immediate danger.
She had been receiving death threats and had suffered intimidation as a result of the investigation into the 2002 killing of her brother, Marcelo Denadai, as he was preparing to reveal evidence of political corruption. In mid-February, after her case had been referred to the Inter-American Commission on Human Rights, she was provided with protection by the Federal Police. However, this protection was at first withdrawn, and was then inadequate once it was reinstated.
It is only after persistent complaints that she is now receiving adequate protection.
Amnesty International will continue to monitor the situation, and take further campaigning action as necessary. No further action is requested from the UA network.
Many thanks to all who sent appeals.
Communication au réseau Actions Urgentes d’AIBF Juin 2006
La première action urgente lancée par Amnesty date du 19 mars 1973 suite à l’arrestation d’un professeur d’économie au Brésil, Luiz Rossi. Le bureau de la sécurité et de l’ordre public à San Paolo, fut submergé par une avalanche de lettres de membres d’Amnesty. « J’ai eu l’impression que le chef du bureau de la sécurité et de l’ordre public se sentait mal à l’aise et sous pression du fait de cette soudaine attention internationale à son égard » dira sa femme en 1996. À l’origine de cette action urgente, Scott Harrison et Ellen Moore, un couple établi à San Francisco qui redistribuait les fax et télégrammes reçus de Londres. À l’époque, il s’agit du seul bureau chargé de faire écho aux actions produites par le Secrétariat International à Londres. Pour en savoir plus sur leur histoire et les tous débuts des Actions Urgentes : http://www.amnestyinternational.be/doc/article8071.html
Le bureau des actions urgentes d’Amnesty Belgique, grâce à vous, grâce à ses milliers de participants, continue ce travail crucial et important. Nous vous en remercions.