La police des Philippines a annoncé qu’à la suite des lettres envoyées par « une organisation de défense des droits humains », elle avait ouvert une enquête sur les actes de torture épouvantables infligés à Jerryme Corre, soumis à des décharges électriques, roué de coups de poing et menacé de mort. Des milliers de militants d’Amnesty International ont agi en faveur de Jerryme au cours de la campagne Écrire pour les droits en 2014.