Écrire Sakineh Mohammadi Ashtiani, une femme condamnée à la lapidation risque toujours d’être exécutée

Action complémentaire sur l’AU 211/09, MDE 13/077/2010, 15 juillet 2010 VEUILLEZ ENVOYER VOS APPELS AVANT LE 26 AOÛT 2010 À : Vérifiez auprès de votre section s’il faut encore intervenir après la date indiquée ci-dessus. Merci. Sakineh Mohammadi Ashtiani, 43 ans, mère de deux enfants, est détenue dans le quartier des condamnés à mort de la prison de Tabriz (nord-ouest de l’Iran) et risque toujours d’être exécutée. Une vague de protestations internationale s’est organisée afin d’éviter ce sort à Sakineh Mohammadi Ashtiani. En mai 2006, Sakineh Mohammadi Ashtiani a été déclarée coupable d’avoir eu une « relation illicite » avec deux hommes et s’est vu infliger une peine de 99 coups de fouet. Malgré cela, elle a par la suite été reconnue coupable d’« adultère en étant mariée », ce qu’elle a nié, et condamnée à mort par lapidation. À la suite du tollé international de ces dernières semaines, provoqué par la condamnation à mort par lapidation de Sakineh Mohammadi Ashtiani, l’ambassade d’Iran à Londres a annoncé, le 8 juillet, que cette femme ne serait pas exécutée par lapidation, mais n’a mentionné aucune autre méthode d’exécution. Le 10 juillet, le responsable du Haut conseil iranien des droits humains a déclaré que cette affaire serait réexaminée bien que, a-t-il affirmé, le droit iranien autorise les exécutions par lapidation. Cependant, le 11 juillet, le chef des autorités judiciaires de la province de l’Azerbaïdjan oriental, Malek Ezhder Sharifi, a fait (…)

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