Action : demander aux autorités ghanéennes de stopper l’expulsion imminente de milliers de personnes

Amnesty International a demandé aux autorités ghanéennes de stopper l’expulsion imminente de milliers de personnes vivant le long de la voix ferrée à Accra, la capitale du pays. Connus comme les « Railway Dwellers », ces hommes, ces femmes et ces enfants qui vivent et travaillent le long des voies dans le quartier d’Agbogbloshie à Accra risquent de se retrouver sans abri depuis que les autorités leur ont donné deux semaines le 1er décembre pour quitter les lieux. « Le gouvernement du Ghana ne leur a pas proposé d’autre solution de logement et rien ne suggère qu’il a l’intention de le faire une fois que ces personnes auront été expulsées. Les autorités ghanéennes ne peuvent pas expulser des personnes et les laisser sans domicile ni ressources », a déclaré Tawanda Hondora, directeur adjoint du programme Afrique d’Amnesty International. « Elles ne devraient pas procéder à ces expulsions tant qu’un programme de logements de remplacement ou d’indemnisations n’aura pas été mis en place. Les autorités ne doivent pas prendre des mesures qui aggravent la pauvreté ou qui privent d’un foyer les plus vulnérables - les personnes jeunes, fragiles, âgées - et les exposent à des violations des droits humains plus graves. » Le gouvernement du Ghana ne peut pas agir en opposition totale avec ses obligations internationales en matière de droits humains. » Les autorités doivent adopter un moratoire Le 26 novembre 2010, le gouvernement a signé un contrat de 6 milliards de (…)

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