Libérez celles qui se battent contre la peine de mort

En Iran, depuis le début de l’année, plus de 180 personnes ont déjà été victimes de la peine de mort et plusieur·e·s défenseur·e·s des droits humains sont en prison pour s’être opposé·e·s à cette pratique cruelle et inhumaine. Agissez pour demander la libération de trois d’entre elles. La peine de mort en Iran : un bilan morbide L’Iran était responsable d’un tiers des exécutions mondiales en 2018. En 2019, le pays maintient son statut d’État parmi les plus meurtriers, avec déjà au moins 180 personnes victimes de la sentence capitale. Les autorités iraniennes continuent à avoir recours à la peine capitale à tour de bras pour des crimes autres que des homicides volontaires, seul motif pour lequel le droit international autorise le recours à la peine de mort. Des personnes ont par exemple été condamnées pour « inimitié à l’égard de Dieu », « propagation de la corruption sur terre » ou « terrorisme », comme c’est le cas du Dr Ahmadreza Djalali, professeur invité de la VUB en Belgique. L’Iran est également un des rares pays à condamner des mineur·e·s à la peine capitale, ce qui est proscrit par la Convention des droits de l’enfant à laquelle le pays est partie. À l’instar de Mehdi Sohrabifar et Amin Sedaghat qui ont été fouettés puis exécutés en secret en avril, alors qu’ils n’avaient que 17 ans. Celles et ceux qui s’y opposent sont sévèrement réprimés Non seulement le pays condamne des dizaines de personnes à la peine de mort chaque année, mais il réprime également (…)

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