Découvrez notre sondage sur les violences sexuelles en Belgique et comment lutter contre elles
Découvrez notre sondage sur les violences sexuelles en Belgique et comment lutter contre elles
Le JDIWI c’est un ensemble de règles qui vous aident à comprendre ce qu’est le consentement, dans le cadre d’une relation sexuelle.
Informations pour les victimes de viol et les proches des victimes.
Les principaux résultats du dernier sondage d’Amnesty et SOS Viol publiés en 2020, réalisé par l’institut Dedicated sur les violences sexuelles et le viol en Belgique
Principales recommandations d’Amnesty et de SOS Viol pour lutter contre le viol et les violences sexuelles.
Lois et peines prévues pour le crime de viol en Belgique et au niveau international
Description et déconstruction des mythes, stéréotypes et idées reçues sur le viol qui contribuent à la culture du viol
L’accueil des victimes de violences sexuelles par la police n’est pas optimal et peut constituer un frein.
Les obstacles à l’accès à la justice pour les victimes de viol.
Violences sexuelles et croisement des discriminations (intersectionnalité).
Matériel de la campagne #jdiwi produit par Amnesty dans le cadre de la lutte contre le viol et les violences sexuelles et pour le consentement
Les autorités iraniennes ont condamné Olivier Vandecasteele à une peine de 28 ans de prison
Ce mardi 28 mars 2023, Amnesty International, ainsi qu’une vingtaine d’autres organisations œuvrant pour les droits des personnes âgées en Belgique, (...)
L’Occident a fermé les yeux sur les graves violations commises par l’Arabie saoudite, l’Égypte ou l’Israël
République du Zimbabwe Chef de l’État et du gouvernement : Emmerson Dambudzo Mnangagwa
Des journalistes ont été arrêtés au titre de la législation (...)
Pétition pour Olivier Vandecasteele, travailleur humanitaire belge, arrêté en Iran en février 2022 et croupit en prison depuis.
La situation progresse quand nous unissons nos efforts pour exiger des changements. Nous devrions pouvoir faire cela sans crainte de blessures ni (...)
Vanessa Mendoza Cortés, une défenseure des droits humains et présidente de l’association Stop Violències, risque d’être jugée pour avoir défendu, devant un organe de l’ONU en 2019, le droit à l’avortement en Andorre. Les autorités andorranes doivent abandonner les poursuites à son encontre.
C'est en manifestant, dans la rue ou en ligne, que la plupart de nos droits fondamentaux ont été obtenus ou n'ont pas disparu. Mais ces dernières années, ces droits acquis sont en danger : manifester et revendiquer sont vus comme des menaces par de plus en plus d'États, certains dirigeant·es politiques. Ils font tout pour restreindre, empêcher, interdire cette puissance collective. Amnesty International lance, avec votre aide, une campagne pour protéger ce droit fondamental de protester. Voir aussi : Notre dossier sur le droit de protester