La mitrailleuse « Minimi » figure parmi les armes pouvant être vendues à des pays susceptibles de commettre des crimes de guerre
Des armes belges aux mains d’une milice au Yémen
Les États fournisseurs d’armes, comme la Région wallonne, doivent réfléchir à la manière dont leurs transferts d’armes alimentent des crimes de guerre