« Le discours sur l’état de l’Union de ce soir constituait simplement une occasion de plus pour le président de répandre sa politique de haine et de peur devant un public captif. Il encourage des régimes despotiques à travers le monde en fermant les yeux, voire en soutenant activement les violations des droits humains dans des pays comme l’Arabie saoudite et la Corée du Nord. À la frontière sud des États-Unis, son obsession pour des symboles de division tels qu’un mur ne fait que s’inscrire dans ses efforts incessants pour stigmatiser les personnes ayant désespérément besoin d’une protection. Sa politique consistant à renvoyer des demandeurs d’asile vulnérables vers des conditions dangereuses au Mexique est tout bonnement cruelle, a déclaré Joanne Lin, directrice nationale du travail de plaidoyer et des relations avec le gouvernement à Amnesty International États-Unis.
À la frontière sud des États-Unis, son obsession pour des symboles de division tels qu’un mur ne fait que s’inscrire dans ses efforts incessants pour stigmatiser les personnes ayant désespérément besoin d’une protection.
« Non au mur, non au renforcement de la présence militaire, non au développement des centres de détention, et non aux renvois forcés de personnes sollicitant légalement l’asile à la frontière ! Il est temps de revenir aux droits humains et d’œuvrer en faveur de politiques qui traitent toutes les personnes et les familles avec dignité. »