« Se plaindre du bruit n’est pas une infraction pénale. Cette décision ridicule constitue une violation flagrante du droit à la liberté d’expression, a déclaré Usman Hamid, directeur exécutif d’Amnesty International Indonésie.
« Que quelqu’un ait été condamné à 18 mois de prison pour quelque chose d’aussi insignifiant illustre de manière frappante l’application de plus en plus arbitraire et répressive de la loi sur le blasphème dans le pays.
« La juridiction supérieure de la province de Sumatra-Nord doit revenir sur cette injustice en annulant la condamnation de Meiliana et en garantissant sa libération immédiate et inconditionnelle. »