« Ce rapport met en évidence la nécessité de persévérer dans la recherche de la vérité, de la justice, de la réparation et des garanties de non-répétition au Sri Lanka. Le gouvernement sri-lankais doit pleinement mettre en œuvre les recommandations du rapport, conformément aux engagements qu’il avait déjà pris lors de l’adoption de la Résolution 30/1 du Conseil des droits de l’homme des Nations unies. Comme l’indique la haute-commissaire aux droits de l’homme, la lenteur des progrès réalisés à la suite de cet engagement a entraîné peu de résultats concrets, a déclaré la chercheuse d’Amnesty International Thyagi Ruwanpathirana, spécialiste de l’Asie du Sud.
« Amnesty International demande également au Conseil des droits de l’homme des Nations unies de saluer le rapport du Haut-Commissariat et de maintenir la situation au Sri Lanka à l’ordre du jour de ses réunions. Le Conseil doit aussi réaffirmer son soutien à la Résolution 30/1, veiller à ce que le Haut-Commissariat continue de suivre les avancées relatives aux engagements du Sri Lanka, et inviter vivement ce pays à respecter ses engagements dans un délai défini. »