Au cours des deux dernières années, Amnesty International a recensé de très nombreux cas d’arrestation et de détentions arbitraires, de torture et de mauvais traitements, ainsi que de disparition forçée et de mort en détention imputables aux agents du NISS. Ceux-ci prennent pour cible des opposants, des étudiants, des défenseurs des droits humains et des militants de la société civile ainsi que le personnel d’organisations non gouvernementales locales et internationales et des civils ordinaires. Le recours a la torture ou a d’autres formes de mauvais traitement est systématique.