« Diane et Adeline Rwigara n’auraient jamais dû être poursuivies pour avoir exprimé leurs opinions. Bien que nous nous réjouissions de leur acquittement et de leur remise en liberté, nous craignons que le droit à la liberté d’expression demeure menacé au Rwanda, a déclaré Joan Nyanyuki, directrice du programme Afrique de l’Est, Corne de l’Afrique et Grands Lacs à Amnesty International.
« Nous appelons les autorités rwandaises à s’inspirer de ce jugement pour s’efforcer de mieux tolérer et accepter les opinions divergentes ou critiques. Cette décision de justice doit être un premier pas vers la fin de la répression au Rwanda. »