Rendu public le 23 mai 2013, le Rapport 2013 d’Amnesty International rend compte de la situation des droits humains en 2012 dans 159 pays et territoires.
Il montre comment les États ont continué de brandir les arguments de l’intérêt de la nation et de la sécurité nationale et d’utiliser les problèmes de sécurité publique pour justifier leurs propres violations de ces droits. Il montre aussi que, dans le monde entier, des hommes et des femmes sont descendus dans la rue et ont utilisé la force explosive des médias sociaux pour mettre à nu la répression, la violence et l’injustice.
« Nous vivons dans un monde foisonnant d’informations, dit le secrétaire général, Salil Shetty, dans sa présentation du rapport, et où les militants ont à leur disposition les outils permettant que les violations des droits humains ne soient pas passées sous silence. L’information crée une obligation d’agir. »
« Toutefois, une question cruciale se pose : allons-nous continuer à avoir accès à ces informations, ou bien les États, de connivence avec d’autres acteurs puissants, vont-ils bloquer cet accès ? », se demande-t-il.
Le rapport montre que, malgré tous les obstacles placés sur son chemin, le mouvement des droits humains ne cesse de grandir et de se renforcer, et que l’espoir qu’il fait naître chez des millions de personnes demeure une puissante force de changement.
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