“Nous ne dénonçons jamais parce que nous savons que personne ne va nous protéger”, “Ils ont menacé de me tuer”, “Ils ont tenté de m’écraser en voiture, j’étais avec mon fils”, “Des inconnus sont entrés dans ma maison à l’aube, mais bizarrement ils n’ont jamais rien volé”.
Ces histoires sont celles de Carolina et Lorena, harcelées et stigmatisées parce qu’elles protègent l’eau au Chili. Demandez aux autorités de les protéger pour qu’elles puissent continuer leur travail en toute sécurité.
MENACÉES PARCE QU’ELLES DÉNONCENT LE MANQUE D’EAU
Lorena Donaire et Carolina Vilches sont membres de Mujeres Modatima, une organisation pour la défense de l’eau, la terre et la protection de l’environnement dans la province de Petorca au Chili.
Elles sont victimes de harcèlement, de surveillance, de menaces et de stigmatisation au quotidien du fait de leur travail pour défendre le droit à l’eau dans des zones où la sécheresse et ses conséquences ont considérablement affecté la santé et la vie des communautés locales depuis des années.
Les membres de Mujeres Modatima ne font pas seulement face à des attaques et du harcèlement. Elles sont également confrontées à des obstacles importants chaque fois qu’elles essayent de dénoncer ces abus. Les enquêtes sur les faits sont rarement menées. UN TRAVAIL AUSSI VITAL QUE L’EAU QU’ELLES DÉFENDENT
Les plaintes déposées par les Mujeres Modatima doivent être prises en compte. Des mesures doivent être prises pour qu’elles puissent continuer leur travail en toute sécurité.
Avec votre signature, nous pouvons faire pression sur le bureau du Procureur général et les forces de police pour que ça soit le cas, et pour qu’elles bénéficient d’une protection adéquate pour pouvoir continuer à défendre l’eau et l’environnement. Leur travail est aussi important que l’eau qu’elles défendent. Nous ne pouvons pas les laisser seules.
Unissez votre voix et demandez au bureau du Procureur régional de Valparaiso et au bureau du Procureur (…)
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