Action : Tentative de saper la résolution des Nations Unies

A la suite de l’adoption par l’Assemblée générale des Nations unies (AGNU) le 18 décembre 2007, de la résolution appelant à un moratoire universel, un groupe constitué de plusieurs pays ont élaboré une note verbale à l’attention du Secrétaire général des Nations unies. Ce document signé le 2 février 2008 par 58 pays et distribué aux États de l’AGNU, précise que les missions permanentes signataires tiennent à déclarer officiellement qu’elles continuent de s’opposer à toute tentative visant à imposer un moratoire sur la peine de mort ou son abolition, en violation des stipulations existantes du droit international. L’objectif de cette initiative est de déclarer de manière officielle l’opposition d’un certain nombre d’États à la résolution et d’empêcher ainsi que son contenu devienne une norme internationale dans le futur. Alors que 12 États africains avaient voté contre la résolution, 16 ont signé cette note verbale : le Botswana, les Comores, l’Égypte, la Guinée, la Guinée Équatoriale, l’Éritrée, l’Éthiopie, la Libye, la Mauritanie, le Nigéria, l’Ouganda, la République Centre Africaine la Somalie, le Soudan, le Swaziland, et le Zimbabwe. Les cinq pays soulignés s’étaient abstenus lors du vote de la résolution en plénière. Prochaines étapes Une autre note verbale demandant des informations sur la mise en œuvre de la résolution a récemment été envoyée à tous les pays membres des Nations unies afin d’obtenir leur contribution au rapport du Secrétaire général des (…)

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L’avortement est un droit. Parlementaires, changez la loi !

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