Action : Etre chez soi, c’est bien plus qu’un toit sur la tête

En Serbie, les expulsions forcées constituent une violation majeure du droit au logement et affectent les familles rom vivant dans des logements informels mais aussi d’autres groupes de personnes qui ne savent pas se permettre un logement décent et se trouvent menacées de devoir quitter leur foyer par la force. Les expulsions forcées touchent les personnes les plus vulnérables de la communauté rom : celles qui vivant dans une extrême pauvreté se sont résignées à occuper des logements de fortune. Le nombre grandissant d’expulsions a pour conséquence que les Roms sont forcés de déménager d’un endroit vers un autre et voient leur droit au logement, ainsi que d’autres droits humains, outrageusement bafoué. Les autorités serbes ne remplissent pas leurs obligations internationales et régionales en la matière. Pour mettre fin à ces expulsions forcées, les autorités doivent immédiatement les interdire et s’assurer que les familles rom puissent bénéficier de leur droit au logement décent, ainsi que d’autres droits humains, sans aucune discrimination. A Belgrade par exemple, le nombre d’expulsions forcées est en croissance. La ville de Belgrade refuse toujours d’offrir une alternative de logement principalement dans les cas où l’expulsion se fait officiellement à la demande d’un individu ou d’une société. Dans de tels cas, les personnes se retrouvent à la rue. La ville dégage toute responsabilité lorsque l’expulsion n’est pas exécutée à sa demande. The slideshow (…)

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