Laissez la Pride défiler en Hongrie !

UPDATE : Le 28 juin 2025, la Budapest Pride a eu lieu malgré la législation restrictive adoptée en mars et les mesures policières visant à empêcher la marche. Environ 200 000 personnes, dont plus de 280 militant·es et employé·es d’Amnesty International venu·es de Hongrie et de 22 autres bureaux nationaux à travers le monde, ont bravé les restrictions et ont défilé pacifiquement pour réclamer l’égalité et le droit de réunion.

Malgré les efforts de la police pour empêcher l’événement, la marche est devenue la plus importante de l’histoire de la Budapest Pride, démontrant la forte résistance du public aux lois discriminatoires et la résilience de la communauté LGBTQIA+ hongroise et de ses allié·es dans leur lutte contre l’oppression.

Merci à tou·tes celles et ceux qui ont agi ! Votre mobilisation compte !

La Pride de Budapest, capitale de la Hongrie, est menacée. Une nouvelle loi adoptée le 18 mars 2025 interdit les rassemblements qui soutiennent les droits des personnes LGBTQIA+ : c’est une attaque directe contre les personnes LGBTQIA+, leurs allié·es et le droit de manifester. La Pride est une manifestation pacifique en faveur de l’égalité et de la justice. Les autorités hongroises doivent veiller à ce que les personnes LGBTQIA+ puissent marcher librement et puissent revendiquer leurs droits pacifiquement, sans risquer intimidations, harcèlements ou violences.  UN RESSERREMENT CONTINU DES DROITS DES LGBTQIA+ Au cours de la dernière décennie, la Hongrie a connu une augmentation de la discrimination à l’égard des personnes LGBTQIA+ et un resserrement accru des droits et des libertés, y compris sur le droit de manifester. Le gouvernement a fait campagne sans relâche contre les droits des personnes LGBTQIA+ et a ciblé celles et ceux qui luttent pour l’égalité. UNE LOI DISCRIMINATOIRE QUI PIÉTINE LES DROITS FONDAMENTAUX Cette nouvelle loi permet aux autorités d’interdire les rassemblements qui défendent les droits des personnes LGBTQIA+. Les personnes qui assistent à de tels événements peuvent être condamnées à des amendes et les organisateur·rices peuvent être condamné·es à des amendes et à des peines de prison. La loi permet également à la police d’utiliser la technologie de reconnaissance faciale pour la surveillance des participant·es. Cette loi constitue une (…)

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